GORDINI type 23s Le Mans 52 n°34 43/71

43-71 gordini t23s 34 lm52-01
43-71 gordini t23s 34 lm52-0143-70-71 decals43-70-71 photodecoupes
66,00 € l'unité

Calandre Gordini T15s 1/43e (pour ref 43/70-71-78)

GORDINI type 23s (châssis type 15s)

#34 24 heures du Mans 1952: Manzon-Behra, ab. 13e heure (freins avant)

 

Modèle en kit résine non peint.

 

La notice en pdf...


En 1952, Gordini doit se résigner à perdre le « label SIMCA » pour construire son nouveau moteur 6 cylindres 2L de type 20 destiné à équiper ses châssis de type 16. Ces monoplaces vont démontrer leur potentiel en rivalisant souvent avec les Ferrari 500F2 d'un point de vue performance mais plus rarement sur le plan de la fiabilité. Durant cette saison, le 6 cylindres Gordini va également être porté à 2,3L (moteur type 22) pour concourir dans la catégorie sport. Associé à un châssis de type 15s (en provenance des barquettes des 2 saisons précédentes ou de monoplaces de type 15 reconditionnées), ce nouveau moteur conférera aux nouvelles Gordini la désignation « type 23s ». Leurs carrosseries se distinguent généralement de celles vues sur les 4 barquettes des 24 heures du Mans 1951 par le passage du poste de pilotage à droite et par la présence de 2 portières échancrées dans leur partie supérieure. Pour les observateurs éclairés les Gordini type 23s furent probablement les meilleures voitures de sport de la saison 1952. Leur palmarès fut néanmoins plus entaché par la malchance que par le manque de fiabilité : En tête au GP de Monaco, aux 12 heures de Reims et à la Panamericana, elles seront contraintes à l'abandon pour les raisons respectives suivantes: carambolage, accident et imprudence d'un spectateur… Aux 24 heures du Mans 1952, la Gordini type 23s du tandem Robert Manzon / Jean Behra est en tête de la course et de l'indice de performance durant la moitié de la course. A 3h55 la défaillance de ses freins avant la contraindra à l'abandon, cédant la première place à la Talbot Lago T26 #8. La performance de cette Gordini est aujourd'hui souvent éclipsée par l'abandon de la T26 4,5L de Pierre Levegh survenue dans la dernière heure de course. Entre 1952 et 1954, quel autre constructeur que Gordini était capable de vaincre les Ferrari 500F2 tout en tenant tête aux Jaguar type C ?

Connexion S'enregistrer

Connexion à votre compte

Identifiant
Mot de passe
Maintenir la connexion active sur ce site

Créer un compte

Pour valider ce formulaire, vous devez remplir tous les champs.
Nom
Identifiant
Mot de passe
Répétez le mot de passe
Adresse e-mail
Répétez l'adresse e-mail
Captcha
Le panier est vide

Nos newsletters